S'équiper de feux de position est obligatoire en France :
à l'avant (jaune ou blanc) comme à l'arrière (rouge)
Entre puissance et portée :
Premier conseil pour bien choisir son éclairage, faire la différence entre l'intensité (qui permet d'être vu) et la densité de lumière (qui permet de voir). Si vous roulez en ville et sur des routes éclairées, préférez une lumière comprise entre 20 et 100 lm (lumen, unité de l'intensité). Pour l'arrière, un feu entre 10 et 20 lx (lux, unité pour la densité) est conseillé. Le choix de votre éclairage dépendra de trois critères :
La durée des trajets au quotidien; lLe type d'environnement dans lequel vous roulez ; L'autonomie.
Quel type de chargement ?
L'autonomie de l'éclairage est également importante. Sur les vélos électriques, les lumières intégrées fonctionnent en général via la batterie. Mais sur un vélo musculaire, il faudra penser à recharger les batteries. Pour plus de facilité, le chargement via USB sur un ordinateur ou une prise à la maison apparaît comme évident. Histoire de ne pas se retrouver avec des piles usagées au moment de partir au travail.
Type de lumière et mode d'éclairage :
Fini les ampoules classiques, désormais les LED sont utilisées en majorité. Ce type de lumière consomme généralement moins d'énergie. Mais faut-il un mode fixe ou clignotant ? La première chose à savoir se trouve dans les lignes du Code de la route. L'éclairage avant doit obligatoirement être fixe. À l'arrière, privilégiez un système clignotant.
La raison ? Pour se distinguer des phares sur les voitures et des feux de signalisation.
Fixation :
Une fois le matériel prêt, place à l'installation sur votre vélo. Le feu avant s'installera sur le guidon ou la fourche, tandis qu'à l'arrière, c'est sur la tige de la selle ou le porte-bagage qu'on trouvera la lumière. Pour éviter les vols, on conseille des éclairages fixes.
Il faudra néanmoins le matériel adéquat pour démonter et recharger vos éclairages.
Un dernier conseil : avant de partir, vérifiez toujours le chargement de vos lumières !!!